Publiée le par georges Roger
Para cyclisme 
À propos
Le para cyclisme est divisé en compétitions sur route et sur piste.
Épreuves sur Route
Course en ligne : différentes distances selon les sexes et catégories. Ainsi, chez les hommes, les distances peuvent aller de 40km en tricycle T2, à un maximum de 80km en hand-bike H5, 100km en vélo solo C5 et jusqu’à 125km en tandem.
Course contre la montre : différentes distances selon les sexes et les catégories : de 20km maximum en tricycle femmes T1 à 40km maximum pour les tandems masculins.
Les parcours sont étudiés pour intégrer des difficultés compatibles avec les capacités des différentes catégories. Si les zones de départ et d’arrivée seront communes, les parcours pourront varier d’une catégorie à l’autre.
Épreuves sur Piste
Epreuve de vitesse « individuelle » uniquement en tandem.
Epreuve de vitesse par équipe, sur trois tours de piste, pour les catégories C1 à C5 avec un système de points rendant obligatoire la présence de catégories différentes.
Sprint sur 1000m masculin et 500m féminin, départ arrêté.
Poursuite sur 3000 ou 4000m selon la catégorie et le sexe.
La compétition
Au total, il existe 14 catégories de compétiteurs aux Jeux paralympiques, issues des 4 grands groupes de handicaps : la déficience visuelle, la paralysie cérébrale, les handicaps moteurs et orthopédiques. Les types de cycles utilisés sont également au nombre de 4 :
- Cyclisme solo : Cette catégorie est composée de personnes amputées ou ayant une perte fonctionnelle des membres supérieurs et/ou inférieurs.
Le vélo est standard avec éventuellement quelques aménagements inhérents au handicap (emplacement des freins, des changements de vitesse, du pédalier…).
Les cyclistes amputés fémoraux roulent souvent avec une seule pédale, leur jambe amputée étant fixée sur le cadre pour offrir un appui efficace.
- Handbike : La pratique est dédiée aux personnes présentant des lésions médullaires ou amputées d’un ou deux membres inférieurs.
Le cycliste utilise la force des membres supérieurs pour actionner le pédalier. L’engin utilisé est à trois roues, avec propulsion manuelle avec plateaux, dérailleurs, manivelles et freinage adaptés.
Les épreuves de hand-bike sont assez spécifiques car il y est beaucoup moins facile de créer des accélérations brusques pour sprinter ou sortir d’un peloton (en vélo classique, on monte sur ses pédales pour accélérer de la sorte, impossible en hand-bike). Par ailleurs, il est difficile de se défaire d’un adversaire abrité “à l’aspiration” derrière soi.
Mais il est également de ce fait difficile de passer devant son adversaire car les hand-bikes sont longs et que l’on ne peut pas accélérer brutalement.
Il y a donc un jeu tactique important afin d’être bien placé au bon moment et les sprints se lancent souvent de loin.
- Tricycle : Cette pratique est essentiellement réservée aux personnes ayant des troubles moteurs et de l’équilibre (IMC, hémiplégiques). Du fait de ses troubles musculaires et posturaux, le cycliste a recours à un engin à trois roues.
Les épreuves de tricycle sont également spécifiques car il y est beaucoup moins facile de créer des accélérations brusques pour sprinter ou sortir d’un peloton et parce que le nombre de concurrents dans les pelotons est souvent réduit, ce qui influe grandement sur la tactique.
- Tandem : Dans cette pratique réservée aux déficients visuels, le cycliste pratique avec un guide voyant, appelé pilote. Les deux cyclistes sont sur le même vélo et leurs forces de pédalage s’additionnent. Le niveau du pilote est donc beaucoup plus déterminant dans la performance de l’équipage que celui du guide en course athlétique.
Les épreuves de tandem sont impressionnantes car les équipages roulent très vite et que les deux coureurs doivent être parfaitement synchronisés. Il faut également que le pilote informe en temps réel son équipier de l’évolution de la course, des mouvements de chaine et des choix tactiques qu’il envisage. La prise de risque est importante et le coureur déficient visuel est totalement dépendant de son pilote qui, seul, peut diriger le tandem et freiner.
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Tokyo 2020 – 10 nouveaux sélectionnés handisport connus
21 juin 2021
Les Jeux Olympiques de Tokyo se dérouleront du vendredi 23 juillet au dimanche 8 août 2021, suivis des Jeux Paralympiques du mardi 24 août au dimanche 5 septembre.Certains coureurs n'avaient pas pris de départ depuis plus d'un an ! Heureux de retrouver la piste, et malgré le huis-clos, les meilleurs pistards handisport français étaient déterminés à renouer avec la compétition et à s'illustrer au plus haut niveau. Le Vélodrome national de Saint-Quentin-en-Yvelines accueillait le championnat de France de cyclisme handisport sur piste les 13 et 14 février 2021. L'événement a été à la hauteur des espérances avec un niveau très relevé, de bon augure à quelques mois des Jeux Paralympiques de Tokyo (24 août - 5 septembre 2021).
De belles performances
Cette échéance était cruciale afin d'établir une prise de temps de référence et de se remettre en situation de compétition. Les leaders étaient au rendez-vous. Deux records du monde sont en effet en attente d'homologation pour Alexandre Leauté (Urt Vélo 64) sur la poursuite et le 200m classe MC2. Pour lui, il était « vraiment essentiel de prendre le départ d'une compétition (…). Pouvoir retrouver de la confrontation et mettre en œuvre tout ce que l'on a travaillé à l'entraînement c'est que du plus. » Même s'il n'a pas encore son ticket pour Tokyo, il dit vouloir « tout faire pour y arriver ! ». Quant à Kevin Le Cunff (Dunkerque Littoral Cyclisme) sur la poursuite MC5, il bat le champion du monde avec un temps de valeur mondiale. Florian Bouziani (Dunkerque Littoral Cyclisme - Team Cofidis) a, de son côté, réalisé des temps sur la poursuite MC3 lui permettant de rentrer dans le top 6 mondial.
Une équipe sur qui compter
Un bilan « positif », se réjouit Christian Février, directeur technique national de la Fédération française handisport (FFH). Il ajoute que « la discipline a particulièrement souffert de la pandémie en raison de sa nécessité d'être pratiquée en salle et il était essentiel de pouvoir renouer avec une compétition d'ambition ». Ce projet engagé depuis quatre ans « paie ». Un important travail de détection a été réalisé avec les clubs qui permet aujourd'hui d'avoir une « grosse densité de sportifs à très haut niveau ». Lors des Championnats du Monde sur piste à Milton au Canada en 2020, la France s'était hissée à la 4ème place du classement des nations. Une performance « historique », selon Christian Février, et « une équipe très ambitieuse sur laquelle il faudra compter » à Tokyo.
Jérôme Dupré : le vrai début, c’est maintenant
S’il y a un sport populaire en France c’est le cyclisme. Et le para-cyclisme ? Il se porte plutôt bien. Mais les années qui viennent devraient donner un élan supplémentaire à cette discipline grâce à des projets de développement et une assise sportive menée par le directeur sportif Jérôme Dupré et son équipe.
Solo, tandem, tricycle, handbike, cyclotourisme, VTT, route, piste, le cyclisme se décline en de multiples activités et permet ainsi à tous les types de handicap de goûter aux joies de la petite reine. Après des Jeux Paralympiques de Rio plutôt réussis (une médaille de bronze, deux 4es places, une 5e place), il s’agit à présent de préparer la prochaine paralympiade, non seulement pour le haut-niveau mais également pour le développement de l’activité. Jérôme Dupré : « J’aurai tendance à dire que le vrai début c’est maintenant. Non pas qu’il ne se soit rien passé ces quatre dernières années, loin de là, mais après des temps obligatoires pour stabiliser la commission, faire le point sur tous les paramètres de la discipline, préparer Rio, nous avons à présent le temps de partir sur du moyen et long terme et de se consacrer à des idées de fond ».
Près de 1 300 pratiquants handisport
Avec plus d’un millier de licenciés loisirs, près de 250 en compétitions, 130 participants lors des derniers Championnats de France sur route, 20 aux France sur piste, un collectif VTT sourd, le para-cyclisme montre une vitalité intéressante alors qu’il n’est pas forcément simple de pratiquer : coût du matériel, territoires en manque de clubs, manque de moyens humains et de formations... « Je pense qu’on a bien identifié les problèmes, souligne Jérôme Dupré, c’est pour cela que la première formation para-cyclisme à destination des encadrants va voir le jour d’ici la fin 2017 et au cours de 2018 se mettra en place le premier regroupement à destination des jeunes de 12 à 16 ans. Il faut également s’appuyer sur les comités régionaux et départementaux afin de prêcher la bonne parole dans les zones où le cyclisme est moins ancré dans la culture sportive ».
Des passerelles entre handis et valides
Pour densifier les pelotons, une meilleure identification des cyclistes qui participent aux courses valides serait également la bienvenue, alors que la relation avec des équipes professionnelles valides qui intègrent des para-cyclistes dans leur groupe est toujours à entretenir. « Cofidis est le partenaire de notre Coupe de France, c’est un apport financier très important pour nous, souligne le directeur sportif. Notre convention avec la Fédération Française de Cyclisme facilite l’idée de la double licence valide-handi, cela peut nous amener un plus large public qui vient des cyclo-sportives ». Côté Equipe de France, entre les arrêts de carrière, l’intégration des nouveaux, et l’affirmation de certains, 2017 devrait être une « année de transition » et de préparation pour un collectif attendu en 2018 sur les échéances internationales. De belles perspectives donc pour le para-cyclisme, sport traditionnel s’il en est sans oublier ses aspects techniques, évolutifs, tout public, qui en font bien l’un des sports les plus populaires en France. // R.Goude
Plus d’infos : www.paracyclisme-handisport.fr
Biographie

Cyclisme
PARALYMPIQUE
DEAFLYMPICS
CAPACITÉS DÉVELOPPÉES
- SYSTÈME CARDIO-PULMONAIRE
-
- FORCE ET ENDURANCE DES MEMBRES PROPULSIFS
-
- ÉQUILIBRE (POUR SOLO ET TANDEM)
Le cyclisme se pratique, en loisir ou en compétition, sur quatre supports adaptés à la plupart des handicaps physiques et sensoriels : tandem pour les déficients visuels, tricycle pour les infirmes moteurs cérébraux, hémiplégiques ou traumatisés crâniens, handbike (vélo avec commande à bras) pour les personnes à mobilité réduite et vélo solo pour les déficients auditifs et autres handicapés moteurs.
HANDICAPS PHYSIQUES
L’activité se décline en 3 catégories de pratique :
CYCLISME SOLO
Selon le degré de handicap, le cycliste utilise le maximum du potentiel musculaire du ou des membre(s) inférieur(s) pour agir sur un pédalier avec une transmission par chaîne. Le vélo est standard avec éventuellement quelques aménagements inhérents au handicap (emplacement des freins, des changements de vitesse, du pédalier…). Cette catégorie est composée de personnes amputées ou ayant une perte fonctionnelle des membres supérieurs et/ou inférieurs.
HANDBIKE
Le cycliste utilise la force des membres supérieurs pour actionner le pédalier. L’engin utilisé est à trois roues, avec propulsion manuelle avec plateaux, dérailleurs, manivelles et freinage adaptés. La pratique est dédiée aux personnes présentant des lésions médullaires ou amputées d’un ou deux membres inférieurs.
LE TRICYCLE
Suivant les troubles musculaires et posturaux, le cycliste a recours à un engin à trois roues comportant éventuellement des adaptations spécifiques à son handicap. Cette pratique est essentiellement réservée aux personnes ayant des troubles moteurs et de l’équilibre (IMC, hémiplégiques).
HANDICAP VISUEL
TANDEM
Le cycliste déficient visuel pratique en tandem avec un guide, appelé pilote.
HANDICAP AUDITIF
Les personnes atteintes d’une déficience auditive pratiquent sur un vélo traditionnel, sans appareillage auditif.
Nous continuons notre série « A la découverte des handisports » avec cette fois-ci le cyclisme. Quelles sont les différentes pratiques possibles ? Réponses.
Après vous avoir montré d’autres handisports tels que l’aviron, le judo ou encore le tennis de table, nous souhaitons porter un coup de projecteur sur le cyclisme.
Quelles règles ?
Le cyclisme handisport propose une adaptation au handicap des règles établies par l’Union Cycliste Internationale. 2 types de compétitions existent :
- Le cyclisme sur route qui est pratiqué en extérieur. Cette discipline est un sport paralympique depuis 1988.
- Le cyclisme sur piste dont les compétitions sont disputées dans un vélodrome. C’est en 1996 que cette variante est devenue un sport paralympique.
Ce sont des aménagements pour les différents types de handicaps que dépendent les catégories se trouvant dans les championnats.
Les personnes déficientes visuelles sont classées en 3 catégories B (« blind ») :
- Les aveugles se trouvent dans la catégorie B1.
- Les handisportifs qui ont une acuité visuelle de 6/24 maximum et/ou un champ visuel de moins de 5 degrés sont dans la catégorie B2.
- Les athlètes ayant une acuité visuelle comprise entre 2/60 et 6/12 et/ou un champ visuel compris entre 5 et 20 degrés sont dans la catégorie B3.
Le matériel utilisé est ici le tandem. Le sportif est placé derrière un pilote voyant non-professionnel pour être guidé sur piste comme sur route.
Les personnes en situation de handicaps moteurs sont réparties en 4 catégories LC (pour « locomoteur ») :
- Les athlètes atteints d’un handicap mineur ou minime sont dans la catégorie LC1.
- Les sportifs handicapés d’une seule jambe et capables de pédaler normalement en utilisant leurs deux jambes, avec ou sans prothèse courent en catégorie LC2.
- Les handisportifs handicapés de l’un des membres inférieurs et pédalant en majorité avec une jambe se trouvent dans la catégorie LC3.
- Les personnes atteintes de handicaps plus lourds portant sur les deux membres inférieurs font partie de la catégorie LC4.
Les femmes courent avec les hommes de catégorie inférieure sur circuit comme sur piste. Ainsi une athlète classée LC1 courra avec des sportifs se situant en LC2.
Les handisportifs atteints de paralysie cérébrale sont répartis dans 4 catégories CP (« Cerebral Palsy ») :
- La classe CP4 comporte les athlètes les moins lourdement handicapés qui courent sur des vélos.
- Les handisportifs situés en CP3 et CP2 peuvent choisir de concourir sur vélo (CP3) ou sur tricycle (CP2).
- En CP1 se trouvent les sportifs ayant les plus lourds handicaps. Ils utilisent des tricycles.
Dans les catégories CP, les cyclistes des deux sexes courent ensemble mais ne participent qu’à des épreuves sur route.
En handbike nous pouvons distinguer 2 catégories de handicap HC :
- Un athlète paraplégique ou amputé des jambes avec totale stabilité du tronc se trouve en division H 3/4/5
- Les personnes tétraplégiques, quadriplégiques, paraplégiques ou ayant des problèmes d’usage des bras et des mains sont en division H 1/2
Dans ces catégories, les cyclistes hommes et femmes courent séparément.
Du côté des compétitions, le cyclisme handisport est devenu un sport paralympique en 1988 avec les Jeux de Séoul. De nombreux championnats ont lieu chaque année, et cela depuis le début des années 80. N’hésitez-pas à vous rendre à l’un d’eux pour découvrir ce sport en live !
Focus sur le handbike !
Nous ne pouvons pas refermer cet article sans porter un coup de projecteur sur le handbike. Le principe ? La personne est allongée sur un siège remplaçant la selle, les jambes tendues et les deux mains sur le pédalier.
Pour avancer il faut mouliner…avec les mains. Il suffit de pousser vers l’avant les deux pédales. Le changement de vitesses et le frein se trouvent également sur le pédalier. Pour tourner l’athlète doit se pencher dans la direction où il souhaite aller. Que l’on soit en situation de handicap ou non, le handbike permet d’appréhender le déplacement d’une façon totalement inédite.
Une expérience que toute l’équipe de Talentéo vous recommande.

Vous avez déjà pratiqué le cyclisme handisport ? Vous souhaitez parler d’une discipline ? Rendez-vous sur nos réseaux sociaux !
Convention FF Cyclotourisme / FF Handisport
6 janvier 2015
Le 6 décembre dernier, l’Assemblée Générale de la Fédération Française de Cyclotourisme, a marqué l’engagement réciproque de la Fédération Française de Cyclotourisme et de la Fédération Française Handisport. Les présidents, Gérard Masson pour la FFH et Dominique Lamouller, pour la FFCT, ont signé une convention valable une année, et reconductible tacitement.OBJECTIFS DE LA CONVENTION
- Faciliter l’accès au cyclotourisme pour tous (affiliation et licences mutuelles) via, notamment l’adhésion des clubs de chacune des deux fédération à l’autre (gratuité la première année) ;
- Développer la pratique du cyclotourisme pour tous (règles techniques de sécurité et encadrement, création de passerelles entre les différentes formations des deux fédérations, accès aux randonnées). Les formateurs et cadres sportifs seront formés à l’encadrement des publics en situation de handicap ;
- Promouvoir la pratique du cyclotourisme (décentralisation vers les structures locales, promotion / communication) ;
- Créer une commission nationale mixte composée de représentants des deux fédérations qui aura pour mission d’étudier les conditions d’accueil des personnes en situation de handicap.
- Lors de manifestations sportives, mutualisation technique dans l’encadrement de la part des deux fédérations.
ACCOMPAGNER LES CLUBS CYCLOTOURISTES
L’accompagnement des clubs cyclotouristes se fera par le biais d’une commission spécialement dédiée «Sport pour tous». Ainsi , la FFCT s’engage :
- Attribution du label Arc-en-Ciel aventure pour les clubs accueillant ou réalisant des actions auprès d’un public en situation de handicap
- Flyer de promotion de l’accueil handicap
- Livret « accueillir dans votre club des personnes en situation de handicap (le handicap c’est quoi ? les différents type de handicap, handicap parlons-en, cyclotourisme pour tous, …)
- Prêt de matériel adapté (tandems, handbikes)
- Formations pilote tandem avec passager malvoyant.
Le mot de Jérôme Dupré, directeur sportif du cyclisme handisport :
« De part la discipline, cette convention ne concerne par la compétition, uniquement du loisir. L’idée est de mettre en réseau les acteurs locaux ou territoriaux sur la discipline cyclotourisme. Chaque comité régional, qu’il soit du cyclotourisme ou d’handisport, doit pouvoir se retourner auprès d’un acteur local en cas de besoin, que ce soit pour organiser un événement ou développer la discipline. L’idée de cette convention est de créer une synergie entre nos deux fédérations, qui sera profitable aussi bien pour l’une que pour l’autre. Je pense notamment à la gratuité de la licence la première année. »
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